“Foundation for research on the root causes of poverty in Africa: a case study of Tokombéré and Soulédé-Roua councils of Cameroon” by Elisabeth YAOUDAM, Moussa BONGOYOK, and Célestin DELANGA………………………………………… p. 6
“Las representaciones de los negros en la trilogía africana de Javier Reverte: entre utopía y distopía” de Justine MEKAPTIO y Antoine BOUBA KIDAKOU…………………………………………………………………………………………………………………………….. p. 32
“An Affirmation of the Centrality of the Lord’s Prayer (Matt. 6:5-15) to the Christian Faith” by Fred GEORGE……….…………………………………………………………………………………………………………..……………………. p. 45
Lien pour téléchargement gratuit (veuillez cliquer sur le lien ci-dessous):
Le REMEAF et Contributions africaines saluent la courageuse position des députés et des leaders religieux ivoiriens en faveur de la famille. Cet acte devrait inspirer les autres leaders du continent africain! Prière d’écouter l’audio ou de visualiser la vidéo ci-dessous.
REMEAF andContributionsAfricaines salute the courageous position of Ivorian Members of Parliament and religious leaders in favor of the family. This act should inspire other leaders of the African continent!Please listen to the audio or view the video below
L’Afrique est riche en valeurs culturelles et linguistiques. Elle compte en son sein 2 154 langues. Malheureusement, l’anglais, le français, l’arabe, le portugais et l’espagnol dominent encore le paysage académique, plus de soixante ans après l’indépendance. Que faire pour changer la donne ? L’Institut Universitaire de Développement International (IUDI) est convaincu que le développement du continent africain passe inéluctablement par la valorisation des langues et cultures africaines. Or, sur ce terrain, et malgré les imperfections relevées çà et là, les missionnaires chrétiens ont fait un excellent travail développant des alphabets pour des langues africaines en rédigeant des livres et brochures utiles pour l’enseignement, la santé publique, la formation professionnelle. En collaboration avec des Africains, ils ont aussi appris nos langues et traduit la Bible ou des portions des Saintes Ecritures dans diverses langues du terroir. Il revient à la nouvelle génération d’Africains, sans aucune discrimination religieuse ou ethnique, d’évaluer le chemin parcouru et de bâtir là-dessus pour redonner aux langues africaines ses lettres de noblesse de la maternelle jusqu’au niveau de l’enseignement supérieur. Un Bantou, par exemple, devrait être en mesure de soutenir sa thèse de doctorat en langue bantoue sans transiter par une langue étrangère. L’IUDI s’y attelle et exige déjà que ses étudiants et étudiantes rédigent les résumés de leurs mémoires et thèses dans leurs langues maternelles. Bien plus encore, il travaille avec ses agences d’accréditation pour que, dans un proche avenir, la rédaction des mémoires et des thèses puisse aussi se faire dans les langues africaines, pourvu que les membres du jury aient les qualifications académiques nécessaires et soient en mesure de lire, comprendre et évaluer le travail en question.
Mais, l’IUDI ne veut pas s’enfermer dans le silo académique puisqu’il se veut aussi un mouvement de développement transformationnel. Or, la religion et la langue jouent un rôle incontournable dans le développement durable. Aussi l’IUDI lance-t-il un concours annuel de lecture et de mémorisation de textes rédigés ou traduits dans les langues africaines. Un avis formel de concours sera annoncé très prochainement sur Contributions Africaines. En attendant, veuillez affûter vos talents linguistiques. Ci-dessous, le Président de l’IUDI donne l’exemple en lisant le 1er chapitre du livre de Proverbes en mafa.
L’Institut Universitaire de Développement International (IUDI)
Africa is rich in cultural and linguistic values. It has 2,154 languages. Unfortunately, English, French, Arabic, Portuguese, and Spanish dominate the African academic landscape more than 60 years after independence. What can fellow Africans do to change the situation? The University Institute for International Development (IUDI) thinks that the development of the African continent inevitably requires the enhancement of African languages and cultures. However, in this field, and despite the imperfections noted here and there, Christian missionaries have done an excellent job developing alphabets for African languages and translating books and pamphlets useful for teaching, public health, vocational training, and translating the Bible or portions of the Bible into various local languages. It is up to the new generation of Africans, without any religious or ethnic discrimination, to assess the progress made and build on it to restore African languages to their former glory from kindergarten to higher education. A Bantu, for example, should defend his doctoral thesis in the Bantu language without going through a foreign language. IUDI is aiming at it. It already requires its students to write abstracts of their dissertations and theses in their mother tongues. Much more, it works with its accreditation agencies so that, soon, students will have the option of writing their dissertations, and theses can in any African language, provided that the jury members have the necessary academic qualifications and can read, understand, and understand and evaluate the work in question.
Nevertheless, IUDI does not want to lock itself into the academic silo since it wants to be a transformational development movement. Religion plays an essential role in sustainable development. It, therefore, launches an annual competition for reading and memorizing texts written or translated into African languages. A formal notice of competition will be announced very soon on Contributions Africaines. In the meantime, please each African is kindly requested to hone his or her language skills. Below, the IUDI President sets an example by reading the 1st chapter of Proverbs in the Mafa language.
The University Institute for International Development (IUDI) University of International Development https://iudi.org/
Le Dr Paul Kammogne FOKAM est l’un des géants du continent africain dans le domaine économique. Il mérite l’attention de quiconque veut véritablement lutter contre la pauvreté en Afrique.
Dr Paul Kammogne FOKAM is one of the giants of the African continent in the economic field. He deserves the attention of anyone who is seriousabout fighting poverty in Africa.
Ceci est enregistrement vidéo de la séance zoom tenue le 13 Avril 2020 de 19h-21h, heure d’Afrique Centrale, dans le cadre d’une rencontre informelle avec les étudiants de l’Institut Universitaire de Développement International (IUDI) et sous la direction du Professeur Moussa Bongoyok.
This is a video of the zoom session held on April 13 2020 from 7pm to 9pm, Central African Time, as part of an informal meeting with students from the Institut Universitaire de Développement International (University Institute of International Development) and under the leadership of Professor Moussa Bongoyok.
« Je demanderai à Dieu par miséricorde de nous protéger. Ensuite, je vais enfumer, pour aider à purifier l’air, donner des médicaments et les prendre. J’éviterai les lieux, et les personnes, où ma présence n’est pas nécessaire pour ne pas être contaminé et aussi infliger et affecter les autres, pour ne pas causer leur mort par suite de ma négligence. Si Dieu veut me prendre, il me trouvera sûrement et j’aurai fait ce qu’il attendait de moi, sans être responsable ni de ma propre mort ni de la mort des autres. Si mon voisin a besoin de moi, je n’éviterai ni lieu ni personne, mais j’irai librement comme indiqué ci-dessus. Voyez, c’est une telle foi qui craint Dieu parce qu’elle n’est ni impétueuse ni téméraire et ne tente pas Dieu. » Martin Luther
Source :Œuvres de Luther Volume 43 p. 132 la lettre « Que l’on puisse fuir une peste mortelle » écrite au révérend Dr. John Hess.