Archive for the ‘chretiens’ Category

Christ est ressuscité

Christ est ressuscité

En gloire, en dignité.

O ! que toute la terre

Chante haut sans se taire !

Christ est ressuscité,

Vive la liberté !

Les chaînes sont brisées

La haine est méprisée.

Christ a vaincu la mort

Pourtant si terrifiante

Christ a vaincu la mort

Elle n’est plus que fiente.

Christ a vaincu Satan

Et je suis bien content

Jadis plein de hardiesse

Il n’est plus que faiblesse.

Christ est ressuscité.

Je suis en sûreté.

Qui me fera la guerre ? 

Christ est Roi de la terre.

Tout genou fléchira

Et tout être dira

Que christ est le seul Maître

Des objets et des êtres.

Et quand viendra la fin

De ce monde enfin,

Je serai dans sa gloire

Chantant haut la victoire.

Tiré de Moussa Bongoyok Joyeux malgre la crise(Pasadena,CA: Trinity Press, 2002) p. 29.

(c)Copyright, Moussa Bongoyok, 2002.

Joyeuse fête de Pâques à tous!

TSAMAHA Bienvenu loue le Seigneur en mafa -TSAMAHA Bienvenu is praising the Lord in Mafa – TSAMAHA Bienvenu a slèberdè Zhiklè a da’i mofa

TSAMAHA Bienvenu

Ndav nga a wuffè te man Zhiklè m’woy nga…m’va nga nshèffè a mèdèp.

Nous nous réjouissons parce que Dieu nous a aimé…Il nous a donné la vie éternelle.

We rejoice because God loved us…He gave us eternal life.

Valorisation des langues africaines au service du développement durable

L’Afrique est riche en valeurs culturelles et linguistiques. Elle compte en son sein 2 154 langues. Malheureusement, l’anglais, le français, l’arabe, le portugais et l’espagnol dominent encore le paysage académique, plus de soixante ans après l’indépendance. Que faire pour changer la donne ? L’Institut Universitaire de Développement International (IUDI) est convaincu que le développement du continent africain passe inéluctablement par la valorisation des langues et cultures africaines. Or, sur ce terrain, et malgré les imperfections relevées çà et là, les missionnaires chrétiens ont fait un excellent travail développant des alphabets pour des langues africaines en rédigeant des livres et brochures utiles pour l’enseignement, la santé publique, la formation professionnelle. En collaboration avec des Africains, ils ont aussi appris nos langues et traduit la Bible ou des portions des Saintes Ecritures dans diverses langues du terroir. Il revient à la nouvelle génération d’Africains, sans aucune discrimination religieuse ou ethnique, d’évaluer le chemin parcouru et de bâtir là-dessus pour redonner aux langues africaines ses lettres de noblesse de la maternelle jusqu’au niveau de l’enseignement supérieur. Un Bantou, par exemple, devrait être en mesure de soutenir sa thèse de doctorat en langue bantoue sans transiter par une langue étrangère. L’IUDI s’y attelle et exige déjà que ses étudiants et étudiantes rédigent les résumés de leurs mémoires et thèses dans leurs langues maternelles.  Bien plus encore, il travaille avec ses agences d’accréditation pour que, dans un proche avenir, la rédaction des mémoires et des thèses puisse aussi se faire dans les langues africaines, pourvu que les membres du jury aient les qualifications académiques nécessaires et soient en mesure de lire, comprendre et évaluer le travail en question.

Mais, l’IUDI ne veut pas s’enfermer dans le silo académique puisqu’il se veut aussi un mouvement de développement transformationnel. Or, la religion et la langue jouent un rôle incontournable dans le développement durable. Aussi l’IUDI lance-t-il un concours annuel de lecture et de mémorisation de textes rédigés ou traduits dans les langues africaines. Un avis formel de concours sera annoncé très prochainement sur Contributions Africaines. En attendant, veuillez affûter vos talents linguistiques. Ci-dessous, le Président de l’IUDI donne l’exemple en lisant le 1er chapitre du livre de Proverbes en mafa.  

L’Institut Universitaire de Développement International (IUDI)

University of International Development

https://iudi.org/

Africa is rich in cultural and linguistic values. It has 2,154 languages. Unfortunately, English, French, Arabic, Portuguese, and Spanish dominate the African academic landscape more than 60 years after independence. What can fellow Africans do to change the situation? The University Institute for International Development (IUDI) thinks that the development of the African continent inevitably requires the enhancement of African languages and cultures. However, in this field, and despite the imperfections noted here and there, Christian missionaries have done an excellent job developing alphabets for African languages and translating books and pamphlets useful for teaching, public health, vocational training, and translating the Bible or portions of the Bible into various local languages. It is up to the new generation of Africans, without any religious or ethnic discrimination, to assess the progress made and build on it to restore African languages to their former glory from kindergarten to higher education. A Bantu, for example, should defend his doctoral thesis in the Bantu language without going through a foreign language. IUDI is aiming at it. It already requires its students to write abstracts of their dissertations and theses in their mother tongues. Much more, it works with its accreditation agencies so that, soon, students will have the option of writing their dissertations, and theses can in any African language, provided that the jury members have the necessary academic qualifications and can read, understand, and understand and evaluate the work in question.

Nevertheless, IUDI does not want to lock itself into the academic silo since it wants to be a transformational development movement. Religion plays an essential role in sustainable development. It, therefore, launches an annual competition for reading and memorizing texts written or translated into African languages. A formal notice of competition will be announced very soon on Contributions Africaines. In the meantime, please each African is kindly requested to hone his or her language skills. Below, the IUDI President sets an example by reading the 1st chapter of Proverbs in the Mafa language.

The University Institute for International Development (IUDI) University of International Development https://iudi.org/

Prof. Moussa Bongoyok

The Prayer of Habakkuk

  • In what ways COVID-19 has impacted the local economy and even spiritual life negatively?
  • What do we learn from Habakkuk in such challenging times and how do we apply these lessons to our individual and collective lives?
  • Joy must characterize the life of a follower of the Lord Jesus Christ. If there is no joy in your daily life, please watch as there is certainly a spiritual leak. Ask yourself these diagnostic questions: Am I complaining often? Do I have the tendency to blame others for almost everything? Do I talk to myself negatively? Do I dwell in my past successes or failures? Do I resist to change? Do I want to please everybody (which by way is am impossible task)? Do I doubt God’s wonderful plan for my life? Do I neglect my Bible study, church attendance, and prayer life? I am hiding to commit sin or life my life like an ungodly person without a respectful fear of God? Am I jealous? Am I envious? Am I afraid of what will happen to me given my current life circumstances? Bring these issues to the Lord in prayer and your will enjoy His peace and joy.
  • Prof. Moussa Bongoyok

The prayer life of Daniel: lessons for a victorious Christian life today

« It is our  Heavenly Father who pilots our lives. Despite the turbulences of life, everything will be fine. »Moussa Bongoyok

Yesu Kristi – Jésus-Christ – Jesus Christ

Extrait du film Jésus en langue Mafa (Mofa). Voix: Ndoumai Pierre et Moussa Bongoyok

REWBE TINIIBE UEEC-Douala/ On tuuba, Yesu baadi loraago- Repentez-vous, Jésus revient bientôt – Repent, Jesus is coming soon

Giimol Rewbe Union des Églises Évangéliques au Cameroun (UEEC) haa Douala dow ko windi nder Luka 17:34-37. Chant exécuté par les femmes de l’UEEC de l’église de Douala sur la base de Luc 17:34-37. Song performed by the women of the Union of Evangelical Churches in Cameroon, local church of Douala, based on Luke 17:34-37.

Va va na a Bi nga – Let us give to our Lord – Donnons à notre Seigneur

Dimèsh m’vi skway a Zhiklè a ganzavar Mafahay, a n’gècè ndalinga. Chant d’offrande accompagné de la harpe Mafa et au rythme de la danse ndalinga. Offering song accompanied by the Mafa harp and to the rhythm of the ndalinga dance.

Plantes médicinales d’Afrique subsaharienne

À l’heure où plusieurs maux menacent la santé des populations africaines déjà fragilisées par une paupérisation croissante, de nombreuses personnes se tournent vers plantes par conviction ou par nécessité. Bien entendu, la médecine naturelle a fait ses preuves en Afrique et dans le monde. Elle mérite d’ailleurs une place de choix dans nos stratégies de santé publique. Toutefois, les plantes médicinales peuvent aussi entraîner d’autres complications graves si elles ne sont pas déterminées, manipulées et conservées avec précaution. Pour cette raison, Contributions Africaines met à votre disposition d’excellentes ressources accessibles gratuitement en ligne.

Recueil de plantes médicinales en Afrique de l’Ouest — SECAAR (document valable aussi en Afrique centrale)

http://www.secaar.org/content/visual.php?id=3&idelement=212&nomchamps=filinkdocument

Plantes médicinales et pratiques médicales au Burkina Faso (document valable pour tous les pays sahéliens — excellent manuel d’éducation à la santé publique en zone rurale) http://www.jardinsdumonde.org/wp-content/uploads/2016/06/Manuel-Plantes-medicinales-pour-le-soin-de-la-famille-au-Burkina-Faso-léger.pdf

La médecine naturelle tropicale – ANAMED (Précieux documents disponibles en plusieurs langues)

https://www.anamed-edition.com/en/downloads.html

La pharmacopée des plantes médicinales de l’Afrique de l’Ouest

Unissons-nous – Let us all unite

Le Dieu Créateur est le Seigneur.

Et Jésus-Christ est le seul Sauveur.

Seras-tu en paix avec le Père

Quand tu fais la guerre à ton frère ?

C’est vrai que nous sommes différents,

Mais nos veines ont le même sang.

Chrétiens, cessons de nous faire la guerre.

Rejetons les armes de cette ère.

Unissons-nous, donnons-nous la main ;

Demeurons tous sur le droit chemin.

Que l’Esprit du Seigneur nous remplisse,

Que la mission du Christ s’accomplisse.

Livrons le bon combat de la foi.

Que le saint amour soit notre loi ;

Un amour vérité et service,

Un amour bonté et sacrifice.

Au paradis, point de divisions,

Ni d’humaines dénominations.

Vivons notre céleste patrie,

Et l’Eglise sera moins meurtrie.

Extrait de Moussa Bongoyok Joyeux malgré la Crise (Pasadena, CA : Trinity Press, 2002) p. 15

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