Posts Tagged ‘mofa’
16
Oct
Posted by bongoyok in Uncategorized. Tagged: African contributions, alphabet, contributions africaines, Extrême-Nord du Cameroun, langues, Langues africaines, Mafa, Mafa Alphabet, Mayo Tsanaga, Michel Goulimė, mofa, Mokolo. 6 commentaires
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23
Avr
Posted by bongoyok in action, adages, Africa, African contributions, African proverb of the week, education, Proverbes africains, resolution de conflits, sagesse, Savoir vivre, spiritualite, vie chretienne, Vie en societe. Tagged: amour, Cameroon, Cameroun, contributions africaines, enfance, enfants adoptifs, enfants biologiques, Extreme-Nord Cameroun, harmonie, Koza, Mafa, Mayo Tsanaga, Mbardam, Mbouzao, mere, mofa, Mokolo, moussa bongoyok, n'gelegedma mafahai, obligation morale. mofa, pere, protection, proverbe africain de la semaine, proverbe mafa, reconciliation, Roua, Soulede. Laisser un commentaire
“Mam watsak a mana ta a gèd a wudahi na.” (N’gèlègèdma mafahai)
« La mère poule protège ses poussins. » (proverbe Mafa)
« The mother hen protects her chicks. » (Mafa proverb)
Signification : Quelle que soit la tension conjugale, une mère ne doit pas abandonner ses enfants.
Commentaire à la lumière de la Bible
Un proverbe africain dit: “La langue et les dents ne sont pas des ennemis, mais il arrive que la langue soit de temps en temps mordue.” Ceci nous place au cœur de la vie conjugale avec ses multiples tensions. La société Mafa en prend conscience et elle est particulièrement préoccupée par le sort des enfants. Partant d’une simple observation des animaux de la basse-cour, elle a développé une philosophie qui est censée amener les parents à toujours se réconcilier dans l’intérêt des enfants qui souffrent le plus en cas de relations conflictuelles ou de séparation. En réalité, le but visé par ce proverbe est de maintenir une vie harmonieuse au sein de la famille en attirant l’attention sur le fait que le vrai danger est à l’extérieur du foyer conjugal.
Il est intéressant de relever que l’accent est mis sur la mère et non sur le père pour des raisons évidentes. Toutefois, cela n’exclut pas la responsabilité du père qui joue traditionnellement le rôle du premier gardien de la famille. Les deux parents ont donc une même obligation morale.
Ce proverbe Mafa nous fait penser au texte d’Esaïe 49 :15 où il est écrit : «Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle nourrit? Cesse-t-elle d’aimer l’enfant qu’elle a conçu? Et même si les mères oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas!” (La Bible du Semeur). L’amour maternel est si fort que Dieu lui-même le cite en exemple. Il serait dommage que cet amour soit brûlé sur l’autel des intérêts égoïstes livrant ainsi l’enfant ou les enfants – qu’ils soient des enfants biologiques ou adoptifs – à d’amères souffrances physiques, morales et spirituelles.
Mais, la Bible cite aussi en exemple la compassion d’un père pour ses enfants dans le verset 13 du psaume 103 : « Et, comme un père est plein d’amour pour ses enfants, l’Eternel est rempli d’amour pour ceux qui le révèrent.” Voilà donc qui renforce un équilibre avantageux pour les enfants dans le foyer. Le devoir d’aimer les enfants incombe aux deux parents.
Dans un monde où la famille est de plus en plus menacée, l’on ne saurait souligner davantage l’importance de protéger ceux qui incarnent notre avenir tout en constituant déjà la force de notre présent : les enfants. Faisons tout ce qui en notre pouvoir pour que les conflits entre adultes ne les plongent pas dans des conditions difficiles aux conséquences incommensurables. Travaillons activement pour la protection des enfants, la réconciliation des époux, et l’harmonie dans les foyers avec ou sans enfant.
Moussa Bongoyok
© Copyright by Moussa Bongoyok, 2015
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10
Mar
Posted by bongoyok in Africa, African contributions, African proverb of the week, African proverbs, African studies, Afrique, fondamentalistes, limites de la sagesse humaine. Tagged: Bible, bienfait, bienfaiteurs, Cameroon, Cameroun, cerveau, congres, destruction, developpement, developpement international, Dieu, etre humain, extremisme antireligieux, extremisme religieux, Far North Cameroon, gouvernement, homme et femme, intelectualisme, intelligence, Koza, limites, Mafa, Mbardam, Mbouzao, mofa, Mokolo, moussa bongoyok, n'gelegedma mafahai, Nord Cameroun, Northern Cameroon, occident, origine, parlements, politique, proverbe mafa, raison, religion, sagesse, societe, Soulede, theologie, theologiens, universite, vision du monde, worldview. 2 commentaires
“Mangarasl ndo nara mangarasl medǝwa » (N’gèlègèdma mafahai)
« Le cerveau de l’être humain est comme le cerveau du rat. » (Proverbe mafa)
« Human brain is like rat brain. » (Mafa proverb)
Signification : Oublier ses origines et ses bienfaiteurs c’est agir comme un rat.
Parallélisme biblique
Le rat n’a pas bonne presse en pays Mafa. Il s’attaque aux maigres récoltes des paysans qui, à leur tour, lui livrent une guerre sans merci. Mais, le rat semble aussi avoir un autre défaut : Il stocke les provisions volées dans des cachettes et les oublie souvent. Par exemple, au début de la saison de pluies, il n’est pas rare de tomber sur des arachides enfouies sous terre. C’est ainsi qu’il est frequent d’entendre les Mafa dire de quelqu’un qui oublie souvent les choses : «gèd nenga’a nara ged medǝwa » (sa tête est comme la tête du rat). Notre proverbe va plus loin en faisant de l’oubli un mal qui ronge tous les êtres humains : « Le cerveau de l’être humain est comme le cerveau du rat». Il est interessant de noter qu’au lieu d’utiliser le mot « gèd » (tête), l’adage mafa utilise le mot « mangarasl » (cerveau), ce qui dénote d’une plus grande profondeur car, dans la pensée mafa, le cerveau est le centre de la réflexion. C’est ainsi qu’on entend souvent dans les conversations « mangarasl a te gèd ngaya be dè ? » (Est-ce que tu ne réfléchis pas ? Littéralement, « Est-ce que le cerveau n’est pas dans ta tête ? »).
Si la profondeur de cette parole de sagesse mafa est frappante, les véritables enjeux se trouvent au niveau de ses implications. C’est vrai qu’il nous arrive souvent d’oublier des noms, des dates, des leçons apprises, des objets, des rendez-vous, voire des bienfaiteurs et leurs bienfaits. Mais, ce proverbe peut aussi s’appliquer à une dimension plus profonde : notre origine. D’où venons-nous ? Nous avons malheureusement tendance à oublier ou à négliger la source même de notre existence. Le premier chapitre du livre de Genèse indique clairement que nous avons été créés par Dieu. Le créateur a fait de nous des êtres capables de réfléchir, de choisir, voire de créer dans une moindre mesure. Mais, cela fait-il de nous des égaux du Créateur ? Loin de là. De nombreux personnages bibliques l’ont compris. C’est ainsi que le psalmiste disait dans Psaume 8 :4-5 : « Quand je contemple le ciel que tes doigts ont façonné, les étoiles et la lune que tes mains ont disposées, je me dis: Qu’est-ce que l’homme, pour que tu en prennes soin, et qu’est-ce qu’un être humain pour qu’à lui tu t’intéresses?” (la Bible du Semeur). Le prophète Esaïe est encore plus précis quand il dit: “Une voix interpelle: ‘Va, proclame un message!’ Une autre lui répond: ‘Que dois-je proclamer?’ ‘Que tout homme est pareil à l’herbe et toute gloire humaine comme la fleur des champs; car l’herbe se dessèche et la fleur se flétrit quand le souffle de l’Eternel passe dessus. En vérité: les hommes sont pareils à de l’herbe.” (la Bible du semeur). Nous pourrions multiplier les références bibliques, mais ces deux textes suffisent pour nous montrer que nous ne saurons nous comparer au Dieu Créateur, ni encore moins le rivaliser.
Et pourtant, l’humanité a de plus en plus tendance à pousser Dieu hors de sphères des décisions humaines et à placer la raison sur un gigantesque piédestal. Cela se voit dans nos universités, nos congres, nos sénats, nos parlements, nos assemblées nationales et nos gouvernements. Cela se ressent même dans certains contextes religieux ou des prédicateurs influencés par les balbutiements d’un rationalisme déséquilibré en arrivent à remettre en cause la sagesse divine et à dire haut et fort que les miracles et les guérisons miraculeuses n’existent plus. En agissant ainsi ils tombent dans le même piège que les soi-disant intellectuels qui se vantent de tout connaître, de tout expliquer, et de tout résoudre, au point de se passer de Dieu. Et pourtant, la sagesse de l’homme si elle est détachée de sa divine source, n’est que folie aux yeux de Dieu (voir 1 Corinthiens 1 :18-29). S’appuyer sur ses seules capacités intellectuelles pour naviguer sur l’océan déchaîné des réalités existentielles tout en ignorant Dieu – la source de la vie, de l’intelligence et de la sagesse – c’est avoir un cerveau de rat.
Pourtant, de plus en plus, les sociétés occidentales veulent gérer leurs nations, résoudre les nombreux problèmes auxquels elles sont confrontées et contribuer au développent international sans Dieu. Tout se passe comme si subitement l’être humain était devenu plus intelligent que Dieu au point de s’offrir le luxe de se passer de lui. Pire, certains dirigeants veulent imposer à tout l’univers cette vision du monde dominée par un athéisme ouvert ou déguisé. Ils ignorent qu’en agissant ainsi, ils vont droit vers la destruction car de même qu’un homme sensé n’utilise pas un appareil complexe sans se référer au manuel d’utilisation, nous ne saurons vivre notre vie qui en encore plus compliquée sans nous référer aux directives de notre Créateur contenus dans la Bible. Lisons-la, étudions-la, méditons-la, donnons-lui une place de choix dans nos institutions éducatives et dans nos vies. C’est alors que nous serons constamment connectés à Dieu, la véritable source d’intelligence et de sagesse. C’est alors que, loin des dérives de l’extrémisme religieux violent ou de la démesure antireligieuse (qui est tout aussi intolérante et violente), nous nous engagerons résolument sur la voie de la guérison, du vrai succès, de la réussite dans toutes les sphères de la société, et d’une vie qui honore Dieu et constitue une source de bénédiction pour tous les êtres humains sans distinction aucune.
© Copyright by Moussa Bongoyok, 2014.
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3
Mar
Posted by bongoyok in Africa, African contributions, African proverb of the week, African proverbs, African studies, Afrique, Kenya, opprimes. Tagged: adage, aigle, air parfume, air pur, Alfred de Vigny, annees 1970, beaute, Cameroon, Cameroun, circonstances de la vie, cris, cris de detresse, demunis, Dieu, epervier, esperance, espoir, etrangers, faibles, faucon, foi, Francophone University of International Development, FUID, Hassan O. Ali, hommes, Institut Universitaire de Développement International, IUDI, Jesus, la paix de Dieu, Mafa, mofa, montagne zhele, Monts Mandara, moussa bongoyok, nature, orphelins, Paul et Silas, pauvres, Philippiens 4:6-7, poule, poulet, poussin, priere, proverbe, Psaume 50:15, refugies, REMEAF, roses, sagesse, Saint Esprit, sans papiers, Soulede, traumatisme, veuves, village, zone rurale. 1 commentaire
“Dua la kuku halimpati mwewe”
“A chicken’s prayer doesn’t affect a hawk”
“La prière d’un poulet n’affecte pas un faucon”
(proverbe Swahili, Kenya)
Signification: “Ce dicton est normalement utilisé pour se référer à l’impuissance des opprimés face à leurs oppresseurs. Si les prières des victimes avaient un effet quelconque sur leurs agresseurs, alors certainement l’oppression finirait. Mais cela ne semble pas être le cas.”
Parallélisme biblique
Quoique je sois né en ville, j’ai passé une bonne partie de mon enfance en campagne. Je garde de très bons souvenirs de la simplicité et de la beauté de la vie en zone rurale. Mais, si la vie au village était généralement belle, elle était cependant loin d’être tapissée de pétales de roses. Un jour, à la fin des années 1970, alors que je savourais l’air pur et parfumé des hauteurs du village de Soulédé (Extrême-Nord, Cameroun), je me souviendrais toujours du traumatisme qui a déchiré mon cœur d’enfant lorsque pour la première fois un épervier est venu arracher brutalement un poussin qui était dans la cour de notre maison et juste à côté de moi. Ni les efforts de la mère poule, ni mes gesticulations, ni les cris stridents des voisins, n’ont pu sauver la malheureuse victime. C’était si brusque et si violent que cela est resté gravé dans mon esprit.
C’est donc avec beaucoup d’intérêt que j’examine ce proverbe swahili du Kenya. En effet, un poussin est sans défense face au poids, à l’agilité, à la rapidité, et aux puissantes serres du faucon. Sa tentative de fuite et ses cris – qu’on peut assimiler à des prières dans le contexte de cet adage – ne peuvent apparemment rien changer. Bien entendu, l’image utilisée ici va au-delà de la vulnérabilité des animaux de la basse-cour pour pénétrer dans la profondeur des réalités existentielles. L’histoire de l’humanité est jalonnée d’oppression tantôt brutale, tantôt habilement déguisée mais non moins dévastatrice. Face aux individus, aux multinationales ou aux grandes puissances de ce monde, les plus faibles semblent être abandonnés à leur triste sort tels des poussins solidement retenus par les serres d’un faucon. Parfois, pour emprunter les termes d’Alfred de Vigny dans Les destinées et plus précisément dans son poème intitulé « Le mont des oliviers », nos prières semblent être vaines car l’on a l’impression que « le ciel reste noir, et Dieu ne répond pas».
Pourtant la réalité spirituelle est loin du tableau alarmiste qui nous est peint ici. La Bible dit que Dieu est le père des orphelins, le défenseur des veuves (Psaume 68 :5). Il rend justice aux opprimés, aux étrangers, aux pauvres et aux faibles (Exode 22 :20-23, Psaume 146 :7-9, Esaïe 3 : 13-26, tout le livre d’Amos, etc.). Il a entendu les cris des Israélites qui ployaient sous le joug de l’oppression en Egypte (Exode 3 :7-10). Même quand ces derniers péchaient et tombaient sous le coup du jugement divin, chaque fois qu’ils criaient à lui et se repentaient sincèrement, Dieu les délivrait des mains de leurs oppresseurs (voir tout le livre des Juges). Il est écrit dans Psaume 50 :14-15: “Offre pour sacrifice à Dieu des actions de grâces, et accomplis tes vœux envers le Très Haut. Et invoque-moi au jour de la détresse; je te délivrerai, et tu me glorifieras (La Bible Segond) .” C’est Dieu qui brisa les chaînes de Paul et Silas et ébranlé les murs de la prison où ils étaient injustement enfermés ? (Actes 16). C’est encore lui qui a dit dans Philippiens 4 :6-7 : “Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos besoins à Dieu. Adressez-lui vos prières et vos requêtes, en lui disant aussi votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ (La Bible du Semeur).”
Quelles que soient les circonstances de la vie ou les oppressions physiques, morales, psychologiques, sociales, politiques, économiques, ou spirituelles, il est bon de savoir que le Dieu qui a libéré les victimes de l’oppression égyptienne est le même. Il y a de l’espoir pour quiconque implore son secours avec humilité et sincérité de cœur.
© Copyright by Moussa Bongoyok, 2014
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16
Jan
Posted by bongoyok in communication, economie, education, encadrement, enfants, famille, gestion, humilite, leadership, Mafa, mission holistique, proverbe africain de la semaine, Proverbes africains, sagesse, Savoir vivre, spiritualite, theologie, vie chretienne, Vie en societe. Tagged: contributions africaines, eloge, Extreme-Nord Cameroun, FUID, humilite, humility, Koza, m'bela ka a Poulda, mafa proverb, Mayo Tsanaga, Mbouzao, mofa, Mokolo, moussa bongoyok, n'gelegedma mafahai, Poulda, Pouzla, proverbe mafa, Universite Francophone de Developpement International. 2 commentaires
“M’bela ka a Poulda” (N’gelegedma mafahai)
“Tu es plus beau que Poulda” (Proverbe mafa)
“You are more handsome than Poulda” (Mafa proverb)
Signification: Ne fais pas toi-même ton éloge.
Parallélisme biblique
Dans les années soixante-dix et quatre-vingt, ce proverbe revenait souvent dans les conversations des adultes, surtout dans la ville de Mokolo et ses environs. Poulda était alors un homme célèbre pour sa beauté physique à telle enseigne que, dans l’imaginaire populaire, il était consacré roi de la beauté en pays Mafa. Aussi, quand quelqu’un vantait ses mérites, il suffisait de lui dire: “Tu es plus beau que Poulda” pour le remettre à sa place. C’était en fait de l’ironie.
Ce proverbe mafa attire l’attention des êtres humains sur la vanité de l’orgueil. En réalité, nul ne peut se vanter d’être le plus beau, le plus riche, le plus intelligent ou le plus sage. La condition humaine est si complexe et changeante qu’il vaut mieux ne pas se hisser soi-même sur un piédestal qui peut s’avérer fatal. En outre, il n’est pas bienséant de se jeter soi-même des fleurs. N’est-il pas écrit: « Que ta bouche ne chante pas tes louanges, laisse aux autres le soin de le faire. Oui, que ce ne soit pas toi, mais quelqu’un d’autre, qui fasse ton éloge.” (Proverbes 27:2, La Bible du Semeur)?
Nous vivons dans un monde où la tentation de s’élever soi-même est si grande que nous pouvons facilement ignorer l’avertissement du Seigneur qui, dans sa divine sagesse, a dit : « En effet, celui qui s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.” (Luc 14:11, la Bible du Semeur). Quoique le chemin de l’humilité soit la moins attrayante, elle demeure la plus prometteuse car “l’humilité précède la gloire” (Proverbes 15:33).
Ne nous élevons pas nous-mêmes. Ne vantons pas nous-mêmes nos mérites. Laissons les autres apprécier. Et même quand les félicitations pleuvent, accueillons les avec un cœur humble. En réalité, Dieu seul est grand. Tous nos modestes succès ne sont que des gouttelettes dans l’océan de sa provision, de sa faveur, et de son amour.
Notre prière est que Dieu nous donne la force d’exceller dans tous les domaines nobles et utiles à la société sans laisser l’orgueil démolir ce que nous construisons.
© Copyright, Moussa Bongoyok, 2012.
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