What if Christmas was a feast of evangelism?- Et si Noël était une fête d’évangélisation?

What if Christmas was a feast of evangelism?

Luke 2:10-11: “And the angel said unto them, Fear not: for, behold, I bring you good tidings of great joy, which shall be to all people. 11 For unto you is born this day in the city of David a Savior, which is Christ the Lord.”

It’s Christmas. For several weeks now, the whole world has seemed to challenge the pandemic to prepare for it and celebrate it in a thousand and one ways. But how many people take the time to reflect on the deeper meaning of this holiday?

Considering Luke 2 and other Bible texts, Christmas is the coming of God to this world. God became a human being without losing his divinity. The Word became flesh. The second person of the trinity is miraculously born to the Virgin Mary. The Lord Jesus Christ came to save humankind from eternal perdition. He lowered Himself to pull it out of the mud of sin where it got stuck. He incarnated to strip it of the curse of disobedience with its deadly poison. He suffered to give authentic joy to women and men disappointed by the vain pleasures of this world where all is vanity.

If so, shouldn’t everyone seriously reconsider the way they celebrate Christmas as it seems that the emphasis is often in the wrong place? Indeed, today’s nativity evokes gifts, succulent dishes, drinks of all categories, dances, and a host of other activities that are not necessarily bad but which sin by diverting humanity from the essential. Instead of placing the Lord Jesus Christ at the center of the Christmas feast, it is instead pleasure, self-centeredness, the inner circle of family or friends, appearances, debauchery, and the like, which seem to sit comfortably on the divine armchair. As was the case during the first Christmas, people do not have room for the Lord, or almost. Even when they mention His name, it is brief, cosmetic, or marginal because the human heart seems to vibrate much more to the rhythm of the celebration than meditation. What if we put the Lord Jesus Christ back at the center of the Christmas feast by transforming it into a feast of sharing the Good News for all the people?

Et si Noël était une fête d’évangélisation ?

Luc 2 :10-11 : “Mais l’ange les rassura : N’ayez pas peur : je vous annonce une nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d’une très grande joie. Un Sauveur vous est né aujourd’hui dans la ville de David ; c’est lui le Messie, le Seigneur.”

C’est Noël. Depuis plusieurs semaines, le monde entier semble défier la pandémie pour la préparer et la célébrer de mille et une manières. Mais, combien de personnes prennent vraiment le temps de réfléchir sur le sens profond de cette fête ?

A la lumière de Luc 2 et d’autres textes bibliques, Noël est la venue de Dieu dans ce monde. Dieu est devenu un être humain sans perdre sa divinité. La Parole est devenue chair. La seconde personne de la trinité est miraculeusement née de la vierge Marie. Le Seigneur Jésus-Christ est venu pour sauver l’humanité de la perdition éternelle, pour le retirer de la boue du péché où elle s’est embourbée, pour la dépouiller de la malédiction de la désobéissance avec son venin mortel, pour donner la vraie joie aux femmes et aux hommes déçus par les vains plaisirs de ce monde où tout est vanité.

Si tel est le cas, ne faudrait-il pas que chacun reconsidère sérieusement la façon dont il ou elle fête Noël tant il semble que l’accent est souvent mis au mauvais endroit ? En effet, la nativité évoque aujourd’hui les cadeaux, les mets succulents, les boissons de toute catégorie, les soirées dansantes et une kyrielle d’autres activités qui ne sont pas nécessairement mauvaises, mais qui pèchent en détournant l’humanité de l’essentiel. Au lieu de placer le Seigneur Jésus-Christ au centre de la fête de Noël, c’est plutôt le plaisir, l’égocentrisme, le cercle restreint de la famille ou des amis, le paraître, la débauche, et de choses semblables, qui semblent s’asseoir confortablement sur le divin fauteuil. Comme jadis, il n’y a pas de place pour le Seigneur, ou presque… Même quand son nom est évoqué, c’est de façon brève, cosmétique ou marginale, car le cœur humain semble beaucoup plus vibrer au rythme de la célébration que de la méditation. Et si nous replacions le Seigneur Jésus-Christ au centre de la fête de Noël en la transformant en une fête de partage de la Bonne Nouvelle pour tout le peuple ?

Prof. Moussa Bongoyok

Jour de Noël de l’an de grâce 2021

© Copyright by Moussa Bongoyok

2 responses to this post.

  1. Posted by Ndanava Jude on décembre 29, 2021 at 7:48

    Je suis d’avis, l’interrogation que je me demande au point de susciter celle dont Jésus lui-même par ces écrivains biblique n’ont pas mentionnés cette fête mais d’où viens cette noël qui prime sur la fête de la pâque et d’autres fête biblique?

    Répondre

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :